actuellement indisponible
Peut-être un visage de Virgile Élias Gehrig
26.00 CHF
Date de parution : 05.2018
Format : Broché
Nombre de pages : 352
Résumé : Trentenaire marié et bientôt père, Thomas découvre un beau matin que son visage commence à s’effacer. Devant l’inexorable dissolution de chacun de ses traits, perdu dans le décor d’un continent à la dérive qui ressemble déjà plus à un home qu’à une maternité, il n’a pas d’autre issue que de démissionner de son destin, de s’arrêter sur la voie de détresse, d’enjamber la glissière et de fuir.
À quelques jours de la naissance de son premier enfant, une fille nommée Europe, il abandonne sa femme enceinte sans laisser d’adresse et embarque dans un avion à destination d’une île de Méditerranée orientale. Y rejoignant le Professeur Grigorios, il part à la recherche de son visage. Durant ce périple, il sera initié au monde des bibliothèques, des manuscrits et de la traduction.
Sous la conduite du savant byzantin, ils enquêteront sur un certain Néophytos, moine orthodoxe qui, entre le 12e et le 13e siècle, aurait vécu la plus grande part de sa vie à l’intérieur d’une grotte nichée dans une falaise. Leur investigation les conduira jusqu’à franchir les murs du monastère fondé huit cents ans plus tôt par le Saint.
À la lisière du roman et du conte, comme un puzzle dont les pièces se rapprochent lentement et s’emboîtent, Peut-être un visage se conçoit comme un laboratoire ou une méditation sur la crise au sens large : crise de l’identité individuelle et collective, crise de la filiation, crise de la culture.
Dans le sillage de Kundera pour qui « le roman est une méditation sur l’existence vue au travers de personnages imaginaires », il met en scène le destin d’un homme et de son continent, l’Europe, à partir du point où l’un et l’autre chavirent, basculent dans l’inconnu. Par une trajectoire singulière, il montre la fin d’un monde, d’une civilisation et la dérive de la génération des Xénnials, ces hommes et femmes nés entre 1976 et 1983.
Format : Broché
Nombre de pages : 352
Résumé : Trentenaire marié et bientôt père, Thomas découvre un beau matin que son visage commence à s’effacer. Devant l’inexorable dissolution de chacun de ses traits, perdu dans le décor d’un continent à la dérive qui ressemble déjà plus à un home qu’à une maternité, il n’a pas d’autre issue que de démissionner de son destin, de s’arrêter sur la voie de détresse, d’enjamber la glissière et de fuir.
À quelques jours de la naissance de son premier enfant, une fille nommée Europe, il abandonne sa femme enceinte sans laisser d’adresse et embarque dans un avion à destination d’une île de Méditerranée orientale. Y rejoignant le Professeur Grigorios, il part à la recherche de son visage. Durant ce périple, il sera initié au monde des bibliothèques, des manuscrits et de la traduction.
Sous la conduite du savant byzantin, ils enquêteront sur un certain Néophytos, moine orthodoxe qui, entre le 12e et le 13e siècle, aurait vécu la plus grande part de sa vie à l’intérieur d’une grotte nichée dans une falaise. Leur investigation les conduira jusqu’à franchir les murs du monastère fondé huit cents ans plus tôt par le Saint.
À la lisière du roman et du conte, comme un puzzle dont les pièces se rapprochent lentement et s’emboîtent, Peut-être un visage se conçoit comme un laboratoire ou une méditation sur la crise au sens large : crise de l’identité individuelle et collective, crise de la filiation, crise de la culture.
Dans le sillage de Kundera pour qui « le roman est une méditation sur l’existence vue au travers de personnages imaginaires », il met en scène le destin d’un homme et de son continent, l’Europe, à partir du point où l’un et l’autre chavirent, basculent dans l’inconnu. Par une trajectoire singulière, il montre la fin d’un monde, d’une civilisation et la dérive de la génération des Xénnials, ces hommes et femmes nés entre 1976 et 1983.
Réf. | 001-9782825147283 |
---|---|
EAN | 9782825147283 |
Rédigez votre propre commentaire