La trilogie de béton - Crash ! ; L'île de béton ; I.G.H de J. G. Ballard
17.40 CHF
Date de parution : 03.2014
Auteur(s) secondaire(s) : Xavier Mauméjean, Robert Louit, Georges Fradier Format : Broché
Nombre de pages : 680
Résumé : Dans Crash !, le narrateur développe une obsession sexuelle pour la tôle froissée, pour les accidents de voiture qui modifient, à coups de poignards de chrome, l'intimité du corps humain. Dans L'île de béton, une sortie de route isole le héros en contrebas d'une autoroute. Le voici moderne Robinson Crusoé sur un îlot surplombé d'un échangeur, là où personne ne s'arrête. Enfin, I.G.H. dépeint une nouvelle forme de guerre : dans une tour de quarante étages, la population se scinde en clans. Ses comportements violents deviennent dignes de notre préhistoire. La trilogie de béton rassemble trois chefs-d'oeuvre de la littérature contemporaine. J G Ballard y invente une nouvelle forme de science-fiction. Il nous met en garde contre les nouveaux fétiches de nos sociétés technophiles aux couleurs criardes.
Auteur(s) secondaire(s) : Xavier Mauméjean, Robert Louit, Georges Fradier Format : Broché
Nombre de pages : 680
Résumé : Dans Crash !, le narrateur développe une obsession sexuelle pour la tôle froissée, pour les accidents de voiture qui modifient, à coups de poignards de chrome, l'intimité du corps humain. Dans L'île de béton, une sortie de route isole le héros en contrebas d'une autoroute. Le voici moderne Robinson Crusoé sur un îlot surplombé d'un échangeur, là où personne ne s'arrête. Enfin, I.G.H. dépeint une nouvelle forme de guerre : dans une tour de quarante étages, la population se scinde en clans. Ses comportements violents deviennent dignes de notre préhistoire. La trilogie de béton rassemble trois chefs-d'oeuvre de la littérature contemporaine. J G Ballard y invente une nouvelle forme de science-fiction. Il nous met en garde contre les nouveaux fétiches de nos sociétés technophiles aux couleurs criardes.
| Réf. | 001-9782070456543 |
|---|---|
| EAN | 9782070456543 |
Rédigez votre propre commentaire