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Sylvain Tesson le juste - Ses combats pour la liberté, la civilisation et l'Arménie - Revue des deux Mondes de Valérie Toranian
27.00 CHF
Date de parution : 12.2022
Format : Grand Format
Nombre de pages : 200
Résumé : Nous publions un inédit d'Orwell sur la cuisine britannique. L'auteur décrit avec beaucoup d'humour le régime alimentaire des classes moyennes, détaillant des plats traditionnels bien peu raffinés (gâteau à base de macaronis, "pudding épais" ...) et bien d'autres mets "qu'on aimerait passer sous silence" , "intolérables pour tout palais civilisé" ... Orwell donne à la fin de son texte des recettes de cuisine. Avis aux amateurs ! Cet inédit est l'occasion pour nous de revenir sur les liens entre littérature et nourriture. De Rabelais à Marie Ndiaye en passant par Dumas, Balzac, Zola, Colette, Pagnol, la nourriture est une véritable source d'inspiration pour les écrivains. "Je vis de bonne soupe et non de beau langage" , disait Molière. Symbole social, élément de décor, métaphore des puissants (le combat des gras contre les maigres), la veine épicurienne irrigue la veine romanesque. D'ailleurs, les prix littéraires ne sont-ils pas toujours associés, d'une manière ou d'une autre, à des dîners ou à des cocktails dînatoires ? Nous verrons pourquoi et comment les lettres et la gastronomie font bon ménage.
Format : Grand Format
Nombre de pages : 200
Résumé : Nous publions un inédit d'Orwell sur la cuisine britannique. L'auteur décrit avec beaucoup d'humour le régime alimentaire des classes moyennes, détaillant des plats traditionnels bien peu raffinés (gâteau à base de macaronis, "pudding épais" ...) et bien d'autres mets "qu'on aimerait passer sous silence" , "intolérables pour tout palais civilisé" ... Orwell donne à la fin de son texte des recettes de cuisine. Avis aux amateurs ! Cet inédit est l'occasion pour nous de revenir sur les liens entre littérature et nourriture. De Rabelais à Marie Ndiaye en passant par Dumas, Balzac, Zola, Colette, Pagnol, la nourriture est une véritable source d'inspiration pour les écrivains. "Je vis de bonne soupe et non de beau langage" , disait Molière. Symbole social, élément de décor, métaphore des puissants (le combat des gras contre les maigres), la veine épicurienne irrigue la veine romanesque. D'ailleurs, les prix littéraires ne sont-ils pas toujours associés, d'une manière ou d'une autre, à des dîners ou à des cocktails dînatoires ? Nous verrons pourquoi et comment les lettres et la gastronomie font bon ménage.
Réf. | 001-9782356502698 |
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EAN | 9782356502698 |
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