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Tu parles Charles ! - Manger local, c’est loin d’être l’idéal de Lucien Willemin
12.00 CHF
Date de parution : 04.2017
Format : Broché
Nombre de pages : 76
Résumé : «Tu parles Charles ! » nous sort d’une conviction trop bien ancrée dans nos esprits… Manger du local à tout prix !
La question posée est celle-ci : Que choisir entre une carotte non-bio d’ici et une carotte bio d’ailleurs ?
Actuellement le choix collectif se porte en fonction de la proximité, soit la carotte non-bio d’ici. Les kilomètres parcourus pour rapatrier la carotte bio depuis un pays tiers motiveront cette préférence. En effet, la consommation de carburant et les rejets CO2 en résultant participent à l’accélération du réchauffement climatique. Donc à première vue, c’est la décision qui s’impose si l’on veut préserver la nature.
Et pourtant, il est plus écologique d’opter pour la carotte bio importée et cela même si elle vient de loin !
Oui car… nous oublions le transport de la chimie !
La lecture de ce petit livre nous emmène vers de nouvelles contrées qui nourrissent une vision bien différente de celle qui nous est offerte au quotidien.
On y découvre une nouvelle dimension environnementale qui nous permet de comprendre que l’agriculture conventionnelle de proximité tue la vie, que les subventions agricoles ne sont pas encaissées par les agriculteurs et que nous payons des impôts pour abîmer la vie, nos vies !
Au fait … saviez-vous que nos champs sont cultivés avec des dérivés d’armes chimiques de guerre ?
Une réalité qu’il est impératif de connaître !
Un petit livre tonitruant qui, comme ses deux prédécesseurs n’a pas fini de faire parler de lui !
Format : Broché
Nombre de pages : 76
Résumé : «Tu parles Charles ! » nous sort d’une conviction trop bien ancrée dans nos esprits… Manger du local à tout prix !
La question posée est celle-ci : Que choisir entre une carotte non-bio d’ici et une carotte bio d’ailleurs ?
Actuellement le choix collectif se porte en fonction de la proximité, soit la carotte non-bio d’ici. Les kilomètres parcourus pour rapatrier la carotte bio depuis un pays tiers motiveront cette préférence. En effet, la consommation de carburant et les rejets CO2 en résultant participent à l’accélération du réchauffement climatique. Donc à première vue, c’est la décision qui s’impose si l’on veut préserver la nature.
Et pourtant, il est plus écologique d’opter pour la carotte bio importée et cela même si elle vient de loin !
Oui car… nous oublions le transport de la chimie !
La lecture de ce petit livre nous emmène vers de nouvelles contrées qui nourrissent une vision bien différente de celle qui nous est offerte au quotidien.
On y découvre une nouvelle dimension environnementale qui nous permet de comprendre que l’agriculture conventionnelle de proximité tue la vie, que les subventions agricoles ne sont pas encaissées par les agriculteurs et que nous payons des impôts pour abîmer la vie, nos vies !
Au fait … saviez-vous que nos champs sont cultivés avec des dérivés d’armes chimiques de guerre ?
Une réalité qu’il est impératif de connaître !
Un petit livre tonitruant qui, comme ses deux prédécesseurs n’a pas fini de faire parler de lui !